Curriculum Vitae Les Os bleus
La Compagnie Les Os bleus est née en Bourgogne d’une famille militante issue de l’Education Populaire. En octobre 2005, ses tout premiers mots se réfèrent à Antoine Vitez et son « théâtre élitaire pour tous », qu’elle comprend à sa façon. C’est ce « à sa façon » qu’elle cultive farouchement. Son nom, déjà, peut créer à l’oreille comme une fausse piste. Personne lors de sa déclaration en Préfecture ne pensait à un cours d’eau dans une pastorale. On a pensé à la chanson de Christophe.
« À sa façon » fait d’elle un lieu ouvert à beaucoup de vents. Et, boulimique, elle applique scolairement une phrase entendue de la bouche de Jacques Lassale : « Le théâtre fait ventre de tout ».
La Compagnie Les Os bleus grandit donc, là où elle est née, de spectacles en ateliers, d’ateliers en lectures et de lectures en actions culturelles. Et l’autre mantra qui l’accompagne est de Peter Brook :
« Nous devons prouver qu’il n’y a aucune tricherie, et qu’il n’y a rien de caché. Nous devons ouvrir nos mains nues et faire voir que nous n’avons rien dans nos manches. »
Photo : Albin Millot / tout droit réservé
Le plus ancien spectacle de la compagnie est « Je suis un ours », il a été joué une cinquantaine de fois entre 2011 et 2018 dans des lieux très divers : d’écoles en salles des fêtes de village à La Minoterie de Dijon et le festival « A Pas Contés ». Il a pris sa retraite en mai 2018.
« Le Grand Gris », une marionnette géante, a déambulé entre 2012 et 2014 à Montbard, Aurillac et Chalon-sur-Saône.
Des tours de contes thématiques se baladent depuis 2011 dans les écoles et salles des fêtes de l’Auxois.
« Roger le facteur » : l’histoire de Roger a donné un livre et une installation géante à la carrière 437M de Viserny en 2012 et 2013.
« Dès Deux Mains » est un spectacle sans paroles destiné aux bébés. Il a été joué dans des crèches (Précy-sous-Thil, Saint Gengoux Le National, Plombière-Les-Dijon…) et des festivals (Les Z’Urluberlus, Noël en scène).
« HANGAR » est un chantier en cours, c’est un monologue écrit par Armelle Philip Brognoli pour Anne Deniau.
« Calamity Jane, lettres à sa fille » : à partir d’une tentative faite au tout début de la compagnie (en 2007) nous avons retraduit toutes les lettres à l’occasion de « Femmes Phares » en 2017. Le spectacle a été joué à Montbard puis nous en avons fait une lecture à Dijon (réseau des MJC).
« Pour la vie » -lettres à des morts- , un montage de lettres écrites par des civils à des soldats pendant La Grande Guerre, et « Le Monstre du dimanche », une création théâtrale et musicale sur la séparation et le changement de maison, sont les spectacles que nous diffusons en ce moment.
En 2017, pendant notre résidence de territoire « Femmes Phares » dans le Montbardois nous avons commencé à expérimenter le collectage de matériaux (principalement sonores) auprès d’habitants, et depuis nous creusons ce sillon. À notre façon…
Nous travaillons principalement sur des textes non théâtraux, avec des matériaux pauvres, de la sincérité et toute la poésie que nous trouvons autour de nous.
Armelle Philip Brognoli fait les bricolages sonores, écrit des textes et codirige la compagnie.
Anne Deniau codirige avec elle, elle met en scène et joue.
La Compagnie Les Os bleus est née en Bourgogne d’une famille militante issue de l’Education Populaire. En octobre 2005, ses tout premiers mots se réfèrent à Antoine Vitez et son « théâtre élitaire pour tous », qu’elle comprend à sa façon. C’est ce « à sa façon » qu’elle cultive farouchement. Son nom, déjà, peut créer à l’oreille comme une fausse piste. Personne lors de sa déclaration en Préfecture ne pensait à un cours d’eau dans une pastorale. On a pensé à la chanson de Christophe.
« À sa façon » fait d’elle un lieu ouvert à beaucoup de vents. Et, boulimique, elle applique scolairement une phrase entendue de la bouche de Jacques Lassale : « Le théâtre fait ventre de tout ».
La Compagnie Les Os bleus grandit donc, là où elle est née, de spectacles en ateliers, d’ateliers en lectures et de lectures en actions culturelles. Et l’autre mantra qui l’accompagne est de Peter Brook :
« Nous devons prouver qu’il n’y a aucune tricherie, et qu’il n’y a rien de caché. Nous devons ouvrir nos mains nues et faire voir que nous n’avons rien dans nos manches. »
Photo : Albin Millot / tout droit réservé
Le plus ancien spectacle de la compagnie est « Je suis un ours », il a été joué une cinquantaine de fois entre 2011 et 2018 dans des lieux très divers : d’écoles en salles des fêtes de village à La Minoterie de Dijon et le festival « A Pas Contés ». Il a pris sa retraite en mai 2018.
« Le Grand Gris », une marionnette géante, a déambulé entre 2012 et 2014 à Montbard, Aurillac et Chalon-sur-Saône.
Des tours de contes thématiques se baladent depuis 2011 dans les écoles et salles des fêtes de l’Auxois.
« Roger le facteur » : l’histoire de Roger a donné un livre et une installation géante à la carrière 437M de Viserny en 2012 et 2013.
« Dès Deux Mains » est un spectacle sans paroles destiné aux bébés. Il a été joué dans des crèches (Précy-sous-Thil, Saint Gengoux Le National, Plombière-Les-Dijon…) et des festivals (Les Z’Urluberlus, Noël en scène).
« HANGAR » est un chantier en cours, c’est un monologue écrit par Armelle Philip Brognoli pour Anne Deniau.
« Calamity Jane, lettres à sa fille » : à partir d’une tentative faite au tout début de la compagnie (en 2007) nous avons retraduit toutes les lettres à l’occasion de « Femmes Phares » en 2017. Le spectacle a été joué à Montbard puis nous en avons fait une lecture à Dijon (réseau des MJC).
« Pour la vie » -lettres à des morts- , un montage de lettres écrites par des civils à des soldats pendant La Grande Guerre, et « Le Monstre du dimanche », une création théâtrale et musicale sur la séparation et le changement de maison, sont les spectacles que nous diffusons en ce moment.
En 2017, pendant notre résidence de territoire « Femmes Phares » dans le Montbardois nous avons commencé à expérimenter le collectage de matériaux (principalement sonores) auprès d’habitants, et depuis nous creusons ce sillon. À notre façon…
Nous travaillons principalement sur des textes non théâtraux, avec des matériaux pauvres, de la sincérité et toute la poésie que nous trouvons autour de nous.
Armelle Philip Brognoli fait les bricolages sonores, écrit des textes et codirige la compagnie.
Anne Deniau codirige avec elle, elle met en scène et joue.